vendredi 31 juillet 2009

Last Day in Toronto

Tonight, I spent 30 minutes speaking with Howard.
Howard is a homeless, who try to earn money by recycling.
Howard is like the most talkative guy I've ever met in Toronto. He's cool, long beard, kind of rebel.
He says it's rare to meet people ready to talk about anything on the street.
I'm one of those. Because talking is fun, and above all with someone who seemed to be so motivated by the fact he's talking to you.

Tonight I just enjoyed Toronto in its whole splendour.
See ya later so...
I'll let my pride and sad experiences in Toronto.

lundi 27 juillet 2009

Pause

"Je suis en train de vivre un de ces moments. Un de ces moments où tout est tellement parfait, c'en est tellement merveilleux que ca devient triste, puisqu'on sait que ce ne sera jamais plus aussi bien."
Rory Gilmore.

vendredi 24 juillet 2009

"I'm No Superman"

Chaque matin en me réveillant, je me demande ce que cette journée va m'apporter. Vais-je apprendre une nouvelle qui va me ruiner? Vais-je voir une personne qui va ensoleiller ma journée? Quel genre de mur vais-je encore aller heurter?
Autant jouer à la roulette russe, les chances de s'y retrouver sont toutes aussi faibles.

Chaque matin je joue alors à la roulette russe, risquant à chaque fois que je percute la détente, d'être fatalement blessée, mais ça rend les choses plus excitantes au final.
Cold Case; je réouvre de vieilles caisses, essaie de clore de vieux dossiers. Des fois ça marche. Des fois ça marche pas.
Me racheter une conduite, récupérer ce que j'ai perdu par ma propre négligence et qui me manque. Ces vieux dossiers. Tout a changé.
Il est toujours trop tard.
Pile, Face, une chance sur deux que je me raccroche au bon wagon.
Cette journée est comme les autres. Je l'aime bien, tout semble paisible, jusqu'à un message, une conversation. La roulette n'a pas fini de tourner, la journée n'est pas finie, à chaque fois que la détente cliquette sans aucune conséquence je profite un peu plus de ce que j'ai.
A chaque fois que j'y réchappe, ça me rattrape. Plus je marche, plus je risque de tomber, peut-être qu'on sera là pour soulager mes égratignures, peut-être pas.
Je continue pourtant, je cours droit. Vers un mur? Sûrement, mais au passage je tente de "grignotter tous les petits plaisirs de la vie", aussi éphémères qu'ils soient.
Les visages défilent, apparaissent, disparaissent, à une allure que je ne peux pas suivre: je ne me crois même pas capable d'en discerner les traits pour la plupart.
Tout va trop vite, je ne comprends pas, mais j'essaie de suivre... est-ce que je suis sur le bon wagon?
"Le vol x, n° en partance de Toronto Pierson aura 6mois, 7 mois de retard comme toujours. 9 mois? 1 an?" tellement de retard partout.

Je prends les dossier un par un et les feuillette.
Affaire classées... jamais jamais vraiment.

J'en ai marre d'attendre que le cliquetis ne cesse. J'ai réouvert ce dossier et j'en suis ravie.
J'y ai retrouvé ma faussette qui y traînait, au font dans la poussière avec un bout de mon amour propre.
Des fois ça marche pas, des fois ça marche... je préfère jouer avec une pièce plutôt qu'un revolver... c'est moins excitant mais plus sûre, parce qu'au final je ne voudrais pas perdre les petits plaisirs que j'ai amassés sur le chemin... avant d'aller percuter violemment ce mur.
Je fais des erreurs, pas mal, sur ce chemin.
Mais je m'en rends compte, c'est déjà ça.
Du coup, des fois ça marche... 

mercredi 22 juillet 2009

Il était une fois...


Il était une fois, mon compagnon du Canada.
Un latino d'1m60 les bras levés sur une estrade. Il aime comme je cuisine ma viande et ma sauce de salade, en échange il me cuisine du jambon à la moutarde et de la purée.
Il aime les séries mielleuses que je regarde et il me comprend le matin et s'est résigné à ne pas m'adresser la parole.
Il aime raconter ce qu'il se passe dans son bouquin, soit parce qu'il est intéressé, soit parce qu'il sait pertinemment que je m'en contrefous, et qu'il aime entendre "Alex, j'en ai rien à faire"!
Alexandre aime se balader, dans les parcs , les bois... il aime également critiquer les gens en français dans le métro, ce à quoi je participe avec ferveur.
Alex aime se coiffer, mais préfère encore être coiffé. Il préfère même qu'on lui fasse des papouilles dans les cheveux n'importe où, n'importe quand.
Alex aime emporter son ordinateur partout dans la maison. Il aime me dire "faisons un truc fou" et se dégonfler dans les 5 secondes.
Alexandre rêve d'aller jouer à Buffy contre les vampires (lui c'est Willow, Buffy c'est moi, normal!) dans le cimetière de Mount Pleasant.
Si Alex vous dit qu'il a une queue... ne le prenez pas comme quelque chose de déplacé, il est persuadé, d'avoir une "queue" qui lui pousse derrière... Alexandre n'a pas la luette droite.
Il est de ce fait toujours malade, mononucléose, méningite, fièvre porcine sont ses alliés au quotidien.
Il aime s'abrutir devant google map et regarder sa maison et et et... sa voiture! C'est quand meme super bien fait!
Et il adoooooooooore  ces chansons qui tournent en boucle sur mon ordi.
Alexandre rêve également de retranscrire le clip des Pussycat Dolls dans le métro torontois.
Alex aime le sport: mais n'en pratique pas.
Alex a passé le CAE mais pense toujours que le Jet Lag ca existe pas, mais le Jet Line oui!
Quand ce jeune homme chante, le monde découvre ce qu'est un soliste MONOTON, et voit naître en lui le nom découlant de cet adjectif: Monotonie.
Alex écoute Lisa grogner et pester. Non je rectifie, Alex ENTEND Lisa geindre et pester, mais il ne l'écoute pas.
Alex voudrait rendre des services, mais Alex ne COMPREND PAS.
S'il était un personnage de dessin animé, il serait un bisounours: Groscalin, ou Jago dans Aladin. Aussi insupportable quand il ne s'arrête plus de parler.
Alex aimes les sushis et les soupes miso.
Alex aime également voler certaines de mes crèmes, accessoires, ou même fringues (peut être pour tenter d'approcher mon niveau d'excellence).
Il aime la chanson tintant à 1h du mat "I think you can be lost"- 'lo-lo-lo-lostttttttt".
Sortir d'un restaurant et automatiquement dire... "Lisa j'en peux plus, j'ai trop mangé... plus jamais je mange autant", et faire pareil la semaine suivante" :)
Il aime m'écrire des romans pour que je n'ai pas peur dans l'avion et me dresser un portrait chinois.

Alex s'il était:
un plat: des petits pois au thon
une boisson: un verre de lait
un animal: un chat
une série: desperate houswives (c'est pas moi qui l'ai dit)
un pays: l'espagne "calienteeee"
un sport: le curling ou le combat de pouces
un restaurant: une crêperie
un élément: la terre, calme et paisible
un repas: tous les grignottages qu'il fait dans la journée
une couleur: blanc comme cette veste affreuse qu'il s'évertue à porter
une ville: Chtuney Malabry (trou du c* du monde)
une date: le 11 septembre 2009
un instrument: une orgue (juste insupportable ou déprimant)
un moyen de communication: Facebook
un personnage de série: Willow de Buffy (oui oui toi aussi tu es calme, timide et réservé)
une heure: 15h, l'heure où tu prends ta douche quand tu t'appelles Alexandre Abad)
une chanson: "HUSH HUSH" (si seulement...) 
C'est mon ceupin, Alexandre, c'est avant tout une personne avec qui j'arrive à vivre collée H24, et réciproquement, et au fond, ce n'est pas rien. Tout simplement quelqu'un qui m'apporte son "imperfection" au quotidien, et c'est tout ce qu'il me faut ... (avec des sushis bien sûre).
A emporter s'il vous plaît je ne le laisserai en aucun cas ici...

Les matins de Lyon 2008/2009

"Nous sommes bien faits, ami, pour nous comprendre ! Pour être l'un à l'autre et, dans tout, de moitié !" 
[Georges Courteline].
Je me lève le matin pour aller en cours: un rituel:
- Je repousse le réveil (mais la marge a été prévue la veille dans le réglage)...
- Je me rendors comme une loque.
- Deuxième affolement cardiaque programmé 30min plus tard.
- "Est-ce que j'ai de quoi faire un bon petit déj?"
* Oui: Saut du lit direction la cuisine.
* Non: Grognement, étape suivante.
- "Qu'est ce que je vais porter aujourd'hui?... qui je vois... je dois avoir l'air sûre de moi ou décontracte?"
- "Combien de temps il me reste? - 25min avant le départ c'est ok."
- Allumer la musique: musique de réveil: (sélection du mois: "Alive in the Glory of Love" - Say Anything)
- Sautiller partout (mais en faisant attention de pas réveiller le bébé du fou d'en dessous!)
- Attraper les vêtements direction la salle da bain, vérifier que l'ampli dans la salle de bain marche bien et lancer une playlist "matin". Douche - Habillage - Coiffage - Maquillage.
- Sortir, mettre la radio, fermer l'ordi, dans le sac, tout est prêt je suis prête.
* Si j'ai mangé je souris, chantonne, bonne journée en perspective.
* Petit déj bâclé, journée foirée.
- Prête a sortir, portable, Ipod tout sous la main. Au moment de fermer la porte a quelques centimetres de sceller celle ci: "M* les clefs", histoire de pas me retrouver enfermée dehors (jamais arrivé, jamais).
- Après bien 10min de recherche, je les trouve cachées dans un emplacement incongru où je les avais balancé la veille.
- Je ferme la porte, je descend l'étage et demi qui me sépare de la Terre, en regardant la boite aux lettres (oui oui tous les matins, on sait jamais, facteurs rebels, Père Noel...)
- Je passe la porte du rez de chaussez: "Et M*, j'ai entraînement ce soir"!
- Je remonte en courant, chope un ou deux tickets de métro, un short, brassière t-shirt, serviette de bain .... BLaH BLaH... il me reste - 10min. (si le chiffre est négatif dans un décompte cela signifie une durée de retard pour les retardataires de la matière grise).
- J'saute sur un Vélov': pneu crevé, pas d'autre Vélov' en vue, panique à bord. Je viens de louper le 31 direction Perrache. Je peste.
- J'attends le 19 qui m'amène au métro auquel je pourrais très bien aller à pieds... mais comme ça j'ai le temps de prendre un pain au chocolat à la petite boulangerie en face de l'arrêt de bus uhh!
- Métro: place Carnot 8h05...

J'ai amputé toute la partie concernant ma moitié la dedans.
- Je me lève j'allume mon portable et je souris en voyant un message débile, ou mirou envoyé 20 min avant que mon réveil sonne.
- Je fais mes allers retours dedans, dehors de l'appart ralentie par l'envoi et la réception de messages, me disant de me dépêcher.
- Je prends un kinder Country, et un Kinder Bueno en partant: MAIS NON 2 Kinders Country, 2 Buenos.
- J'envoie 15 textos "J'suis à la bourre, on est en quelle salle steup'!", qui au fil du temps se transforment en "retard, salle stp".
- Quand j'arrive enfin sur la place Carnot, sortant du Métro, je reçois la situation du lieu dans lequel je vais devoir rentrer morte de honte (je deteste être en retard... paradoxal).
- Un deuxième texto d'une carbo "Ahhh j'te vois par la fenêtre hihi". J'me marre je me grouille.
- Et quand enfin en sueur, pleine de miettes de pain au chocolat (avec le lac Ontario sous les aisselles) je me glisse discrètement à une place qui m'a chaleureusement été réservée, La personne en question me sourit "tu sais pas c'que t'as loupé? regarde un peu comme elle est sappée!" me glissant un gobelet de thé sans sucre au citron, mais comme par hasard n'ayant que le goût de sucre. "J'te jure j'ai pris sans sucre"! pendant que je sors la mythique crème pour les mains senteur "on ne sait pas quoi, mais qui attire toute la rangée" (on s'en fou le tube fait la moitié de mon sac!)
... ** Je souris - pause - "mais mon Dieu elle a tué toute la famille d'Hubère ou quoi????!!! Comment on peut encore s'habiller comme ça au XXIe siècle" **...

Et c'est parti pour une super journée... ENCORE :)

Tout ça pour dire, le laps de temps qui fait toute la différence dans son lit. C'est quand on a encore les yeux fermées, la main sur le réveil sous l'oreiller. Et qu'on pense juste à ces personnes qui nous font nous lever le matin: "s'arracher... faire la loque?" 
*Sourire-Go j'me bouge- "ahhhhhhhhh texto du réveil j'ai un amiiiiii"*

Tais-toi et crève.

"Si un jour tu téloignais, dis moi ce que je ferais?"... bah je pèterais un plomb.

FLASH INFO DU 22 JUILLET 2009:

Les étoiles perdent la tête. Le ciel est un chaos total. On ne sait plus où regarder, où à quelle réalité se fier. Les étoiles se font toutes la malle et deviennent filantes.
Le ciel se vide laissant place a un noir total. Le soleil est bien la en plein jour. Fidèle à ses positions. Les nuages vont et viennent jours et nuits. Mais la nuit le festival de lumières qui illuminait notre ciel a fait un bide. Comme C.Jerôme, on a dû tout annulé.
Sont-elles dans la capuche? Sont-elles en crise d'ado/économique? Sont-elles DTC?
On ne le sais pas, on ne le saura pas.
Le fait est que les étoiles "prenne la poudre d'escampette" (merci Papy Nico pour l'expression). Certaines se font passées pour des comètes, d'autres se désintègrent toute seule et s'éteignent, et les dernière enfin prennent vraiment la fuite.
La fuite, la fuite... mais que fuient elle si ce n'est le soleil... trop oppressant et inconstant.
La faute à lui ce soir on se couchera, et plus une étoile il y aura... parce que sans les étoiles il y a quoi dans le ciel la nuit... il devrait rester la lune.
Mais période néfaste en laquelle nous vivons, le soleil ne brille pas assez fort de l'autre côté de la Terre pour rendre la lune visible à travers les ténèbres.
On se couchera donc dans le noir. Là où tous les chats sont gris. Sales bestioles.

samedi 11 juillet 2009

Je suis une connasse et j'aime ça.

Que de vulgarité sur ce blog...

Attention il y a connasse et connasse qu'on s'entende bien (connanne à part).
Cette habilité à critiquer les gens qui ne m'ont rien fait, par pure méchanceté? ou pure bêtise... finalement un peu des deux, mais qu'est ce que c'est bon!
Qui n'a jamais arrêté son regard sur un pot de peinture (métaphore les amis, la pâté colorée ce n'est pas ma grande passion -big up à toi Omar Shariff-) dans la rue, psalmodiant différentes horreurs à son propos... 
"J'imagine pas ce qu'il doit y avoir la dessous pour que ce soit si bien caché!", "Vaut mieux pas lui faire la bise ou tu restes collée à vie à ce monstre"...
Ou pire... "les gens qui n'ont rien fait pour être moche": rien que cette phrase... en la lisant je me dis... "mais pour qui je me prends? suis je moi même une beauté incontestable de ce monde?..." réponse non.. et au final, c'est peut être ce à quoi on essaie de pallier en étant méchant, la frustration.
Donc je m'en donne à coeur joie sur les "naturellement moches", "ceux sur qui la nature s'est acharnée", ceux "dont les parents avaient dû gravement offenser Dieu, pour qu'il punisse ainsi leur progéniture"...
"Non mais moi, tous mes amis ils sont beaux! qu'est ce que tu crois?!"
Finalement c'est d'être mes amis qui les rend beau? ou je choisis mes amis parce qu'ils sont beaux...? Je pencherais un peu pour la première...
"Everyday we wake up, we chose love, we chose life".
Mais voilà, parce qu'on manie l'ironie, parce qu'on aime le sarcasme... on est une connasse. 
Soit j'en suis une. Ce qui ne veut pas dire, qu'au contraire, je ne suis pas capable d'apprécier quelqu'un à sa juste valeur.
N'empêche que... j'aime haïr, plus j'aime aimer...

vendredi 10 juillet 2009

Dark Blue Dark Blue

Have you ever been alone in a crowded room?
Well I'm here with you,
I said, the world could be burning down till there is nothing but Dark Blue.

Je veux vivre à en crever !


Oh oui oh oui j'aime cette chanson! "Nos rires ont berné la mort et le temps"...
Je vis, je lis des commentaires anonymes, je questionne les personnes susceptibles de les avoir écrit: en vain. Le mystère est entier...

Et Kikou lol mdr ptdr xpdr ^^je vogue et me perds dans les méandres de Facebook et m'apitoie sur la niaiserie du monde... non pas du monde, ce n'est pas le monde Facebook Lisa!
Sur le cucutisme des "mi Amor", "tu es mon autre" (aHa), "t'es ma meilleure amie et je t'adore", "la vie sans toi, JAMAIS", "mon Ange incarné à l'autre bout du monde", "love you too", "tu es ma perle" et BLaH BLaH!
D'un air cynique et désinvolte je tourne à la dérision les effusions affectives en tout genre, jouissant tout de même de certains pseudos cyniques ou hors sujet: "mais laissez le mourir!", "a été dévoré par des moustiques surpuissants", "screamed, laughed, enjoyed.. great", "I"m freakin' sure she hooked up with him, slut!" ou ceux qui commencent par "merci Lisa" uhu...

En écoutant Dilly Dally! ou FLOWER POWER! c'est vrai ça, on sous-estime souvent le pouvoir des fleurs, mon Dieu suis-je entouré par du cucutisme? En l'occurrence habiter avec Alex ne m'aide pas à m'extraire du flop-flop sentimental... une bonne balance s'est installée au 644 Brock Avenue.
J'ai pas envie de devenir cynique et pessimiste comme elle, moi ca me fait rire les phrases du type "tu parles ou t'as pété"? ...

"On se reverra... on se reverra... là où rien n'est plus rien".

"J'aurais bien écrit un article sur la mort de Michael Jackson" se dit-elle... LE FAIT EST QUE JE M'EN CONTREFOUS.
"J'aurais bien écrit un article à propos de l'amitié" renchérit-elle, mais de manière GEnéRALe je m'en contrefous et D'autre part ça revIeNdrait à mE mettre au niveau du paragraphe précédent.
"J'aurais bien écrit un article sur l'amour", mais il faudrait déja que je sois capable de le définir...

Alors finalement, j'ai décidé d'écrire un article sur les grains de beauté:
QUE C'EST INTERESSANT!!!
Au moins de je m'y connais... non même pas, alors je vais faire de la science de comptoire (oui parce que s'il y a psychologie de comptoire, science il y a également).
A quoi ca sert un grain de beauté? à rien... juste à faire attraper des Cancer aux gens... c'est moche... alors pourquoi le nom grain de beauté... grain d'inutilité OUI!
Inutil inutile.. Dawn... tu sers à rien... 
Oui alors après ca vous crée des phobies, des paranoias inutiles... donc on touche pas touuuuuuuutes les zones qui diposent d'un grain de beauté, ce qui les rend hypersensibles...
BaH baH! ... je veux plus être sensible je fais quoi??? je fais disparaître les grains de beauté...
... ça... c'est fait... peut être un peu moins de névrose à l'avenir?

ON AIME!