Le laisser vagabonder, que ce soit sur internet ou dans sa tête.
Tomber sur des pages inattendues: des images =>
La peau, quel magnifique invention, comme parsemée de minicapteurs de sensations fortes.
Le toucher un sens trop peu utilisé: "car sans rire c'est plus facile de rêver à ce qu'on ne pourra plus toucher".
Certaines connexions n'ont lieues que comme ça. Et c'est là que tout commença.
Sans rigoler plus je repense aux "débuts" qui ont eu lieu dans ma vie, ils pa
rtent tous de là.
Un timide frôlage de main au cinéma devant "de l'ombre à la lumière", une touche de main au down under, une accroche psychologique quand ca n'allait pas, une prise de main pour dire "je suis là" à sa manière, une façon de "se trouver" venue de nulpart et menant à tout.. et au pire, je peux attraper aussi sa main dans un geste impulsif et me rentre compte de mon erreur du matin - qu'il me fasse me rendre compte de mon erreur du matin(R).
Sawa ma colocataire qui me dit "le langage du corps, une merveille universelle".
J'arrête pas de les regrder ses mains, pleines de cicatrices due
s à ma maladresse, ou a mon impulsivité, image me reflétant si bien... je les contemple "rough" dans le CAE (et non tough Grrr), je joue au HANDball, n'est ce pas ironique? après avoir fait 8 ans de guitare, je me demande ce que je serais sans elles: pas moi en tout cas.
"Why do I still feel you?" (Colbie C) => Je recois des messages sur mon blog qui proviennent de nulpart, je ne sais pas à qui les associer, ou à quoi. Alors pourquoi je te sens toujours? (Lisa Caillat).
Et Grégoire qui écrit une chanson sur "TA main", il ne manquait plus que ça hin... voilà qu'elle me fait penser a plein de gens, "à ces débuts" de ma vie.
On aime, on aime ça.
C'est tout de même triste d'apprendre que la première partie du corps qui se fâne chez une femme est sa main.
Puis main en anglais, je parle pas de "hand", je parle de "main": principal... mais oui tout est centré la dessus... symbolique, début, fin, frissons... "faut le vivre pour le comprendre".
Suis je la seule a le vivre...? Apres tout je m'en fou... ca vaut le coup.