Qui suis je?

On se le demande... et facebook et ses tests bourrés de fautes d'orthographe et de grammaire ont eu raison de moi.

Pour tout vous dire, je suis une Peyton Sawyer (rockeuse dans l'âme et nostalgique, j'aime les mots, les belles phrases significatives) en couple avec Lucas Scott, qui est probablement l'homme de ma vie et dont je suis profondément amoureuse: car je suis une romantique

J'aurais pu à la perfection vivre au XIXe siècle. En plus d'être une fille très intelligente, je suis l'amie calme et raisonnable qui sait tout. C'est ainsi que le midi à la fac, je suis à la table des gens normaux parce que je suis quelqu'un de vrai, et également quelqu'un de bien... normale, normale ça dépend de quoi on parle, je suis le genre de fille originale, mais mon plus gros défaut est que je suis très nerveuse, et que j'ai l'âge mental de l'ado moyen.

Ce que vous ne savez pas, c'est que je ne suis ni un loup garou, ni une humaine, mais un vampire. Oui oui, mon alter égo est Emmett Cullen: j'aime le sport et j'ai un humour à toute épreuve.

J'ai également le pouvoir de maîtriser le temps... ironie du sort si j'étais une chanson je serais "When I grow up".

Mon père spirituel est Grégorie House parce qu'il "ne faut pas me prendre pour une conne", car je suis capable de briser quelqu'un psychologiquement.

Finalement, mon bilan comportemental conclue que je suis kinesthésique : j'aime le contact de la peau d'autrui, et mon sens du toucher est très développé. A vrai dire c'est ce qui me rend sensible.

Pour finir, je suis aussi attractive qu'un Kinder surprise, et je vis en mode Dragibus.

Pour parler du futur, dans 20 ans je serais "la femme amoureuse", celle qui amène le bonheur autour d'elle: à la fois épouse parfaite et amie fidèle: je suis également le type d'amie à la Mérédith Grey: peu sûre de moi, je suis intérieurement très fragile mais le cache parfaitement, j'ai besoin qu'on me prouve qu'on m'aime: UNE FILLE ADORABLE.

Moi je m'y retrouve bien dedans au final...

L'impression de mieux me connaître maintenant?

Blindfolded

Thick-skinned I am. Such a layer, that I can't feel anything anymore.

I could lay my hand down on a burning hot-plate, my skin will be significantly marked, whereas my body won't feel anything at all.

I can walk through the events, without even being affected by any sensation.

My skin is so rough, so tough that I prevent anyone from touching it.

That backing paper turns me into that kind of person that you don't even notice.

My bubble has got smaller. I'm suffocating, despite that I still don't feel the pain.

Because I have decided so. Because that's the way it is.

I'm thick-skinned, and I won't let you touch me (in any sense of that term) anymore, because you let the last, deep, and painfull scar you can see on this fake but strong shell I've found back.

"Don't let your heart rule your head,

Don't let your world be torn apart,

Just don't let your emotions run free.

That's the way it should be."

Welcome to the world.

All the time that you were gone,

I thought about how things were wrong,

Now you're coming down on earth,

Ok, Hello, Welcome to my world!

L.O.L

Parce qu'il y a des choses qui me font rêver..ne dîtes pas que je suis méchante j'y suis pour rien. Mais je kiffe... oh oui.

Chamy Chauvinc is soon gonna delete her FB profile.

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 Pivoine Blanc aime ça.

Mathieu Grapeloup, à 22:09 le 23 mars

Finally!

Le mot.

.INEXORABLEMENT.

Le matin, c'est pas gerable, pas supportable de se lever. Et au final, le plus dur, c'est quoi? C'est d'ouvrir les yeux... oh oui c'est de les ouvrir. Ca fait mal.. aux yeux... le matin.

I'm a big big girl, in a big big world.

Le monde prend trop de place ce soir.

My head is spinning around, as the planet actually does.

Trop de place dans ma tête, too much space between us. Ca n'a pas de sens, d'abord tu me rassures, then you admit

i'm losing my place, my privileged place.

Peu de choses ont un sens quand deux parties d'un tout sont loin.

I just do as I didn't see anything, I just do as I didn' hear anything.

Parfois c'est plus simple de ne pas voir.

Anybody needs to talk, to confide. And here i ain't.

Il est trop grand, trop vaste ce monde. Assez pour que ces distances prennent trop de sens pour moi.

So many things to see, so many things to do, with or without you. Can I live? And U2?

Trop de place, ce monde prend trop de place, là ou il n'y avait que le nôtre, inside a magic impenetrable bubble.

Là où on avait l

e même problème, les mêmes absences de capacités affectives.

This world vanished in the uproar of the time. Like everything at the end of the day.

Je n'aime pas les ours. Bon Dieu qu'est ce que je ne les aime pas, ils font mal.

No need physical violence to feel the pain I currently feel.

Et pourtant je ne suis pas possessive, je lui ai laissé de la place à se monde.

Mais à la fin on se fait toujours bouffer. "J'te donne ça, tu prends ça!".

1.53 am.

Amour <3

I'm not a corny girl:

Du latin amor (« amour, affection ») par l’occitan de même sens grâce à la littérature des troubadours qui a innové dans ce domaine.

Alors, alors, pourquoi cet article? Est-ce une âme romantique qui s'étend en moi?Ou pas.Je tenais juste à mettre au clair ce petit surnom qui me colle à la peau à ravir.Je mens, je mens. J'ai mis la main sur la poignée de la porte, et j'ai réfléchis... bon on omet de dire que c'était la poignée des toilettes de crêpes à Gogo, même si c'est à Yorkville.... et bien cette poignée m'a mené à une conclusion.Il y a un truc, un truc qui... (oui je me coupe encore, mais c'est marrant de penser que toute la journée j'entends "Tu me demandais hier, mon avis sur le bonheur...)... un truc sans lequel je ne pourrais vivre.Oui, oui à part la nourriture, et c'est surprenant de ressentir ça.Il y a des personnes qui veulent, un matin, aller aux toilettes avant de commencer le boulot. Et qui se rendent compte tout à coup qu'elles ne pourraient pas vivre sans penser à quelqu'un. Par quelqu'un c'est une notion. Et non pas quelqu'un précis.Sans avoir quelqu'un à aimer. Avoir envie de voir ces personnes, envie qu'elles soient fières de vous, qu'elles vous remarquent, de faire des choses dans l'avenir avec, de les entendre. Sans parler d'envie: avoir besoin.Parce que penser à eux et à ce que vous pouvez faire pour rendre leur vie meilleure, c'est ce qui vous fait vous lever le matin, et avancer. Je généralise, mais je suis ce genre de personnes.Parce qu'après avoir réfléchi et posé la main sur une crêpe sans m'en rendre compte... je ne vois pas l'intérêt d'avoir un job, à part pour avoir de l'argent, et je ne vois pas l'intérêt d'avoir de l'argent si ce n'est pas pour l'utiliser pour toutes les actions précitées: les voir, les faire sourire, les rendre fier... etc etc...Bref je ne vois pas comment être heureux, et vivre sans penser à eux, sans aimer. N'y trouve pas l'intérêt.En fait les personnes que j'aime, ou j'aimerai, sont la fin, le point final de ma vie, ce vers pour quoi je vais, ce vers quoi je vais. Sans personne à aimer, je ne vois aucune passion qui vaux le coup d'être vécue. 

Je ne me satisfais pas assez de moi même pour me contenter de ma propre reconnaissance. J'ai besoin de celle de certaines personnes. Et ce sont celles là. Qui me font vivre par amour (oui je sais Diam's m'a plagié).C'est en ça qu'on peut m'appeler "Amour", parce que c'est en soi mon essence. 

Ce sont eux mes troubadours, qui me font évoluer.Et oui tout ça en posant la main sur un "poignée de porte à chiottes", elle est pas ironique la vie... et oui au final, ça m'est venu comme une envie de pisser... si on peut dire.

Les petits + du quotidien.

- marquer un penalty.

- entendre une voix crier votre nom en plein silence dans un gradin.

- regarder l'orage dans le noir et au chaud, en parlant de tout et n'importe quoi sans retenue

- manger une raclette.

- trouver ces "bonnes personnes".

- passer sa journée sur un lit à écouter de la musique, à manger des shokobons avec une de ces "bonnes personnes".

- se réveiller le matin sans être fatiguée, mettre "seventies" à fond direction la salle de bain où il y a une enceinte dedans pour pouvoir danser sous la douche.

- recevoir ses notes de Geographie.

- s'entendre dire par une "recruteuse", qu'on rayonne sur les autres.

- boire un milkshake oreo cookies & cream.

- avoir l'impression de rendre service pour un bonheur futur.

- pleurer devant One Tree Hill et Grey's Anatomy.

- manger du chinois à volonté.

- voir dans son regard tous les non dits.

- être prise dans les bras de quelqu'un sur un coup de tête impromptu.

- checker.

- faire de nouvelles connaissances intéressantes.

- effacer les anciennes inintéressantes, et les faire disparaître.

- se faire traiter de débile avec le sourire.

- découvrir une nouvelle chanson à écouter dans le métro, pour sautiller dans la rue, pour se tirer du lit, pour écrire...

"I wanna wake up where you are... I won't say anything at all". The Goo goo dolls - Slide 

Don't look back.

On se monte toute une utopie quand il s'agit de notre passé.

Tout est mieux, tout ce qu'on ne vit pas actuellement nous manque.

Mais au final, ce n'est probablement qu'une échappatoire à la réalité. Se raccrocher au passé, et l'embellir, c'est une manière de ne pas regarder devant soi.

Et passer le temps sans le vivre.

"I just wanna live, don't really care about the things that they say, don't really care about what happen to me." Good-Charlotte : Just Wanna Live

"Le problème avec la dépendance c'est que ça ne finit jamais bien. Parce qu'il arrive un moment où ce qui nous mettait dans cet état d'euphorie, cesse de nous faire du bien. Et nous fait du mal. Parce que quand on est accro, même si ça fait mal... parfois ça fait encore plus mal de décrocher."